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Condamnation de Marie le Pen

Par LTC Admin - 04/04/2025
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Le président américain a appelé, jeudi soir, à la « libération » de la dirigeante d’extrême droite en jugeant que sa condamnation à une peine d’inéligibilité visait à l’empêcher de remporter l’élection présidentielle française prévue pour 2027Le président des Etats-Unis, Donald Trump, a appelé, dans la nuit du jeudi 3 au vendredi 4 avril, à la « libération » de Marine Le Pen, en jugeant que sa condamnation à une peine d’inéligibilité constituait une « chasse aux sorcières » pour l’empêcher de remporter la présidentielle française de 2027. Peu avant, son vice-président, J. D. Vance, avait également fustigé la décision de justice, en estimant que « ce n’est pas ça, la démocratie ». Je ne connais pas Marine Le Pen, mais je suis sensible au fait qu’elle travaille dur depuis tant d’années », a posté, dans la nuit, le locataire de la Maison Blanche sur son réseau Truth Social. « Elle a essuyé des échecs, mais elle a continué, et, maintenant, juste avant ce qui serait une Grande Victoire, ils s’en prennent à elle sur une accusation mineure dont elle ne savait probablement rien – cela ressemble pour moi à une erreur comptable », a-t-il poursuivi, en allusion à la condamnation, du lundi 31 mars, de la cheffe de file de l’extrême droite, qui pourrait l’empêcher de concourir à la prochaine présidentielle de 2027. « C’est tellement mauvais pour la France et pour le Grand Peuple de France. (…) LIBÉREZ MARINE LE PEN ! », a écrit le président américain, avec force majuscules.Sans jamais citer la justice et l’exécutif en France, Donald Trump, dont les proches J. D. Vance et Elon Musk soutiennent ouvertement des partis d’extrême droite en Europe, a jugé que Marine Le Pen était victime d’une « chasse aux sorcières » par des « gauchistes européens qui se servent de l’arme judiciaire pour faire taire la liberté d’expression ».J. D. Vance a aussi apporté son soutien à la dirigeante du Rassemblement national (RN). « Elle est en tête dans certains sondages. Et pour une accusation particulièrement mineure, (…) ils essaient de la mettre en prison et de l’écarter du scrutin », a-t-il déclaré sur Newsmax, une des chaînes préférées de la droite ultraconservatrice américaine. Il a aussi laissé entendre, à tort, que Marine Le Pen n’était pas personnellement « impliquée » dans les faits reprochés par la justice française. « Ce n’est pas ça la démocratie », a-t-il martelé.

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