IMG-LOGO
Accueil Actualités Sénégal : les médias non conformes sommés de cesser immédiatement toute activité
Actualités

Sénégal : les médias non conformes sommés de cesser immédiatement toute activité

Par LTC Admin - 29/04/2025
IMG

Le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique au Sénégal, siffle la fin de la récréation. Dans un arrêté officiel rendu public jeudi 24 avril 2025, l’autorité ministérielle enjoint la cessation immédiate de diffusion, de parution, de publication et de partage de contenus par tout média non conforme aux dispositions du Code de la presse.En clair, l’arrêté s’applique à l’ensemble des supports médiatiques, qu’il soit de la presse en ligne ou non, rapporte le média sénégalais RTS.


 


L’arrêté ministériel s’appuie sur la loi n° 2017-27 du 13 juillet 2017 portant Code de la presse, ainsi que sur le décret n° 2024-953 du 8 avril 2024 définissant les attributions du ministre.


 


Dans les détails, l’arrêté précise que les médias non conformes doivent cesser toute activité de diffusion ou de partage de contenus, quelle que soit leur natureLes entreprises de presse en ligne ne respectant pas l’article 178 du Code de la presse doivent suspendre leurs diffusions, sous peine de sanctions prévues à l’article 193, stipule l’arrêté.



Il met en garde aussi les entreprises de presse écrite ne respectant pas les articles 66 à 72. Ceux-ci sont tenus de cesser leurs parutions, sous peine de sanctions prévues aux articles 194, 195, 200, 203 et 204.Également dans le viseur des autorités sénégalaises, les médias audiovisuels opérant sans autorisation conforme à l’article 94 du Code. Ils « doivent interrompre immédiatement leurs diffusions », mentionne l’arrêté.


 


L’article 5 de l’arrêté souligne aussi que toute personne diffusant des contenus de médias non conformes ou des fausses nouvelles s’expose à des sanctions prévues par le Code pénal.


 



Le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique au Sénégal, siffle la fin de la récréation. Dans un arrêté officiel rendu public jeudi 24 avril 2025, l’autorité ministérielle enjoint la cessation immédiate de diffusion, de parution, de publication et de partage de contenus par tout média non conforme aux dispositions du Code de la presse. 



 


En clair, l’arrêté s’applique à l’ensemble des supports médiatiques, qu’il soit de la presse en ligne ou non, rapporte le média sénégalais RTS.


 


L’arrêté ministériel s’appuie sur la loi n° 2017-27 du 13 juillet 2017 portant Code de la presse, ainsi que sur le décret n° 2024-953 du 8 avril 2024 définissant les attributions du ministre.


 


Dans les détails, l’arrêté précise que les médias non conformes doivent cesser toute activité de diffusion ou de partage de contenus, quelle que soit leur nature.



 


Les entreprises de presse en ligne ne respectant pas l’article 178 du Code de la presse doivent suspendre leurs diffusions, sous peine de sanctions prévues à l’article 193, stipule l’arrêté.



Il met en garde aussi les entreprises de presse écrite ne respectant pas les articles 66 à 72. Ceux-ci sont tenus de cesser leurs parutions, sous peine de sanctions prévues aux articles 194, 195, 200, 203 et 204.




Également dans le viseur des autorités sénégalaises, les médias audiovisuels opérant sans autorisation conforme à l’article 94 du Code. Ils « doivent interrompre immédiatement leurs diffusions », mentionne l’arrêté.


 


L’article 5 de l’arrêté souligne aussi que toute personne diffusant des contenus de médias non conformes ou des fausses nouvelles s’expose à des sanctions prévues par le Code pénal.



 


La décision vise, selon les autorités, à garantir un espace médiatique respectueux des lois et de l’éthique professionnelle. Cette décision intervient quelques jours après que le premier ministre sénégalais Ousmane Sonko ait déclaré à l’Assemblée nationale que son gouvernement va adopter une politique pénale “zéro tolérance”.


 


« Désormais, ce sera tolérance zéro pour toute diffusion de fausse nouvelle », a-t-il déclaré lundi 14 avril 2025, soulignant que tous les Sénégalais ont le droit que leur honneur « soit sauvegardé et préservé » selon les informations rapportées par Banouto

Tags:

Anciens commentaires



Laisser un commentaire

Les champs obligatoires sont indiqués avec *