Le box des accusés de la CRIET a accueilli ce jeudi, huit prévenus, dont six militaires et deux civils, soupçonnés d’être impliqués dans une affaire de vente illicite de treillis militaires. À l’origine de cette poursuite judiciaire, des faits qualifiés d’« abus de fonction » et de « complicité d’abus de fonction », que le parquet spécial impute aux mis en cause.Les deux civils poursuivis dans cette affaire ont également rejeté toute implication dans une quelconque complicité. La défense a, quant à elle, annoncé sa constitution dans le dossier, sans entrer dans le fond du débat à cette première audience.Le rôle du jour s’est limité à l’identification des parties, à l’énoncé des chefs d’accusation, et à la désignation des avocats. Aucun élément de preuve n’a encore été discuté, la Cour ayant choisi de renvoyer le dossier au 3 juillet 2025, pour permettre aux débats de se poursuivre en toute sérénité.
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